La dernière heure de cours [Maël]

Je continuais de le regarder, enfin une fois que le mot était passé au conducteur et que ma voiture redémarrer j'étais tranquille, bon je savais que si je devais changé de voiture, j'en avais une autre, mais l'autre, c'était la voiture de mon père et je ne voulais pas qu'il lui arrive quelque chose à sa voiture, je respectais beaucoup les objets que mon père avait, c'était sans doute un signe de respect. Enfin je pars en direction de chez moi et je lui répond.

Oui, c'est normal, mais tu sais, c'est parfois des choses qui arrivent quand on conduit.

Alors que je continue de rouler j'arrive prêt d'un carrefour et je mets mon clignotant tout en faisant attention puis je tourne et je lui répond tout en souriant.

Oui, c'est pas faux, sinon j'aurais dû appeler un garagiste pour qu'il vienne chercher ma voiture. Heuuu, tu es pire que mon père là. Mais je te comprends et je préfère que ça soit toi qui me soigne.

Je le taquine un peu, je le regarde et je souris, je me sentais bien, il ne fallait pas qu'il s'inquiète pour si peu, enfin c'est vrai que je pouvais avoir une petite commotion cérébrale, mais j'allais bien. Il s'en faisait un peu trop.

Alors que je continuais de démarrer, je le regarde puis quand il me dit que j'ai raison, je souris, puis une fois arriver prêt de chez moi, je rentre dans l'allée et je me gare, je me détache, puis je le regarde.

De toute façon il faut être prudent.

J'avais donné mon accord, mais j'étais réticent, contrairement à ce qu'on pouvait croire de moi, je n'étais pas du genre à me laisser toucher, en fait, ce n'était pas que j'étais paranoïaque, mais je ne supportais pas qu'on s'occupe de moi, mais là je ne voulais pas me prendre la tête pour ça avec mon meilleur ami.

Oh, tu vas prendre soin de moi, mais de toute façon, t'inquiète pas, je sais prendre soin de moi, je préfère prendre soin de toi c'est le plus important. Si j'ai bien compris, on va rentré chez moi avant que je te ramène.

Je souris quand j'entends ce qu'il m'avait dit, il n'avait pas peur de rentrer dans mon jeu, mais en même temps, on était meilleur ami, on avait le droit de ce taquiner.

Oui, je le sais, c'est pour ça que je n'ai rien dis et que je me laisse faire.

Je continue de le regarder, alors que je descend de ma voiture, je vois Juanita, la femme à tout faire qui avait l'air d'être paniquée, je souris et je lui dis que ce n'était pas grave, qu'elle appelle le garagiste pour lui prendre un rendez-vous pour que j'amène ma voiture, elle rentre dans la maison puis je me retourne en attendant Maël.

Je n'étais pas en sucre et il faut dire que depuis que mes parents sont décédés, quoi que même avant, je m'occupais de moi, je faisais attention, bon c'est vrai que j'avais des employés chez moi, je n'avais pas à faire à manger ou ranger chez moi vu qu'on le faisait à ma place, mais cela dit, quand il y avait quelque chose, ou que j'étais blessé, je me soignais tout seul, je n'aimais pas qu'on me plaigne c'était hors de question. Enfin alors que je le regarde, je souris quand il me dit qu'il ira doucement, je n'étais pas chochotte, puis quand il finit sa phrase je souris.

Tu sais, ce n'est pas la douleur qui me ferait mal, je suis quelqu'un d'assez fort pour ça, je n'ai jamais voir pratiquement pas mal quand on me soigne. Bien-sûr, cela ne me dérange pas, tu veux te faire livrer quoi ? Pas de soucis, je n'ai rien d'autre à faire.

Alors que nous étions rentrée et que la femme de ménage me voit et que je lui dis que ça va aller, elle était rassuré, puis nous nous dirigeons vers la salle de bain du premier étage, je vais m'asseoir puis je souris.

Regarde dans l'armoire de gauche, normalement il y a tout.

Tout était rangé ici, il faut dire que j'aimais aussi que ma maison soit rangé, oui, j'étais un peu maniaque et cela pouvait vraiment déranger, mais ce n'était pas mon problème, je vivais comme ça depuis tellement d'année qu'on ne me fera pas changé du jour au lendemain. Alors que je le regarde dans les yeux, je souris.

On m'a toujours dis qu'il fallait souffrir pour être beau, j'étais beau sans doute, j'avais tant souffert, enfin alors que j'étais toujours entrain de le regarder, je souris, j'avais vraiment besoin d'un ami comme lui, il était important dans mon coeur, il était ce que je trouvais de mieux.

>>Je pense qu'il y a d'autre souffrance pire que celle-là tu sais. EN tout cas, faut pas hésiter à appuyer dessus, je ne suis pas en sucre hein.

CEla ne me déranger pas, je pouvais commander, payer, j'allais passé un petit moment avec mon meilleur ami et c'était un bon truc, je veux dire dans le sens ou je vais être bien et je vais pouvoir discuter, enfin, je le regarde et lui dis./i]

>>Je verrais bien une bonne pizza, ça fait longtemps que j'en ai pas mangé.

[i]Je n'avais pas pour habitude de manger des pizzas, en fait, mes employés faisaient généralement tout pour que je mange seinement, ce qui me rendait un peu dingue, mais je les comprenais, ils avaient pour habitude de prendre soin de mes parents et moi, aujourd'hui, ils continuaient de le faire avec moi. Ils faisaient partis de ma famille; enfin bref, alors que nous étions dans la salle de bain Enfin alors qu'il fait mes pansements, je trouvais qu'il était doué pour ça, il ne faisait pas mal, ça serait un bon soignant, je souris et lui dis.

>>Ai-je le droit de dire que tu serais un bon soignant ? En tout cas, je peux te dire que j'ai rien senti et je te remercie d'avoir pris le temps de me soigner et je pense que je n'ai mal nul part, je te remercie encore.