La rage quand tu nous tiens [Maël]

Une autre journée de cours, le temps que j'arrive je vois le mec dont j'étais amoureux embrasser quelqu'un la rage me prenait, mais j'ai fais genre de rien, surtout quand j'ai appris que mes oncles ont racontés des choses sur moi, je n'étais pas hypocrite, je ne supportais pas ça, j'étais franc et direct chose que les gens n'aimaient pas trop, enfin alors que j'étais en cours, mes élèves me poussés à bout, je leur dis une fois de ce calmer, la deuxième fois ... la troisième fois ça ne passe plus, je leur ai bien fait comprendre qu'ils ont un contrôle, ils n'ont pas voulu le faire, ils ont eu tous le droit d'aller en permanence, alors que j'étais tout seul dans ma classe, je commence à prendre mes affaires sur le bureau et a tout balancer par terre ...

C'était bien la première fois que je pétais un plomb, comment les gens peuvent-ils racontés des choses ? Je savais que la famille de ma mère n'était pas du genre à être franc, je savais qu'ils racontaient beaucoup de choses sur moi, surtout depuis qu'ils savent que j'ai hérités de l'argent de mes parents, en fait, je me souviens qu'une fois quand ils étaient dans la merde, j'avais refusé de les aider, oui, c'est cruel, mais c'est parce que quand mes parents avaient eu besoin d'aide ils ont fermés la porte au nez de mes parents, c'étaient une revanche que j'ai repris sur eux. Enfin bref, ensuite le fait que j'ai vu Anthony embrasser un autre homme, la rage, la rage et ses élèves qui ne respectent pas ... Je ne supportais plus cette pression, en fait je pense que j'avais besoin de vacances, enfin alors que j'entends la voix d'un jeune homme, je lève la tête, je tourne aussi vite, je n'avais pas pour habitude de montrer cette facette de ma personnalité, alors je dis.

Tu ne devrais pas être ici Monsieur Johnson.

J'étais dans l'enceinte du bahut, je savais que je pouvais avoir des problèmes et comme j'avais la rage, je ne voulais pas qu'il me voit comme ça, je préférais qu'il parte qu'il reste et que je lui parle mal, c'était mon meilleur ami, cela me faisait bizarre, mais j'espérais qu'il ne m'en veuille pas trop.[/justify]

On pouvait dire pas mal de choses sur moi, mais il était rare que je crie, que je renvoie toute une classe, alors que mon téléphone sonne, je réponds et je dis au proviseur que je passerais tantôt, puis je raccroche et je regarde Maël, je n'étais pas du genre à vouloir à me plaindre parce que j'étais riche et que je n'étais même pas obligé de travailler, enfin alors que je l'écoute, je fais un petit sourire.

Oui, je sais, mais le problème c'est que j'accumule depuis des jours et des jours, je ne sais pas par quoi commencer et puis je ne veux pas saouler les gens, même mon meilleur ami pour des bêtises enfin entre guillemet, je veux dire, j'ai tout pour être heureux, alors pourquoi je me plaindrais ?

Le jugement, je le connaissais depuis que je suis au collège, j'avais eu le droit à tellement de phrases, le fait que mes parents soient riches ça a beaucoup déplu aux gens, alors ils me mettaient à côté, j'avais pratiquement grandis seul et quand j'avais un copain, il sortait avec moi parce que je payais tout ce qu'il voulait, enfin alors que je le regarde, je lui dis tout bas.

Cela me fais bizarre d'entendre ça venant de la part de quelqu'un, je n'ai pas du tout l'habitude que quelqu'un veuille m'écouter sans vouloir que je lui achète quelque chose, je sais que tu ne partiras pas et que tu es comme ça et je te remercie.

C'était la première fois que je renvoyais toute une classe, d'habitude je gérais mes émotions, mais aujourd'hui, il ne fallait pas qu'on me cherche, la vie était comme ça, parfois on passe un agréable moment à son travaille, puis parfois non, la vie était comme ça et je vivais parfois avec. J'avais beau avec une vie de rêve, j'avais de l'argent, j'étais souriant, j'étais beau, mais j'avais moi aussi des problèmes, enfin je ne voulais pas l'impliquer dans les problèmes de ma vie, mais c'était mon meilleur ami et si je ne lui en parlerais pas à qui je le ferais ? Enfin alors qu'il m'attire prêt de lui, je me laisse faire, je pose ma tête sur son épaule et je l'écoute me parler, je le regarde dans les yeux et je lui dis.

Je sais que je ne devrais pas dire cela. En tout cas, je te remercierais jamais assez pour m'écouter quand ça ne va pas. Tu as peut-être raison, l'argent ne fait pas le bonheur, mais dans le fond, il y contribue, contrairement à beaucoup de monde ici, je n'ai pas à avoir peur de voir débouler un huissier de justice, parce que j'ai de l'argent enfin bref, je m'éloigne du sujet.

Alors que j'étais assis sur la chaise, il se met à ma hauteur, puis je le regarde dans les yeux, Maël avait le don de me mettre à l'aise et calme, ça me faisait du bien d'être apaiser par ce jeune homme.

Oui, mais tu me connais, je suis plus âgée que toi, c'est moi qui doit être là quand ça ne va pas et pas le contraire.

Je le regarde quand il va prendre une chaise et revenir prêt de moi, alors qu'il dépose sa main sur mon épaule, je souris, je sais qu'il était là pour moi que quand j'aurais besoin de lui, il m'aidera, c'était quelqu'un d'important dans ma vie, parce qu'il ne profite pas de mon argent comme beaucoup le fond et c'est sans doute pour ça que je le protège beaucoup.

Je sais que tu n'es pas comme eux, d'ailleurs la preuve, si tu serais comme eux, tu ne serais pas là, je serais seul dans cette classe à me dire que j'ai une vie de merde, enfin en tout cas ça me rassure de savoir que je peux compté sur toi, même si je n'avais aucun doute là dessus, tu es vraiment un bon ami, un meilleur ami, tu es en fait, le meilleur ami que j'ai toujours voulu avoir.

Je le regarde, quand il me demande ce qu'il s'était passé, je ne savais pas trop par où commencer, puis je décide de me lever et d'aller prêt de la fenêtre, puis je lui dis.

Un de mes oncles ma demandé de l'aide, mais mon père avant de mourir m'a dit de ne jamais prêter de l'argent a cet homme parce que quand ils en avaient besoins, il a refusé d'aider mes parents, je suis quelqu'un qui crois et respecte les décisions de mon père, alors il me harcèle, il me menace, enfin plein de chose, ensuite, j'ai vu l'homme que j'aimais embrasser quelqu'un, enfin plein de choses qui fait que je ne supporte plus trop d'être dans les couloirs, avant quand je ne me sentais pas bien ,je prenais le jetprivée de mon père et je partais pendant des mois, maintenant, j'ai des responsabilité, je ne peux pas le faire, pourtant ce n'est pas l'envie qui me manque.

L'argent était un vrai problème avec moi, en fait, j'étais riche, j'étais heureux, mais le problème quand quelqu'un était au courant, je ne savais pas s'ils voulaient être mon ami pour l'argent ou alors parce qu'ils m'appréciaient vraiment, c'était dur, mais ce n'était pas le moment de craquer, mais je ne pouvais plus garder ça pour moi, alors que j'avais toujours ma tête sur son épaule, je me sentais vraiment épauler avec Maël et cela me faisait vraiment bizarre. Maël faisait tout pour me réconforter et ça me faisait du bien, j'étais, je le sentais au fond de moi, un peu réconforter. Quand je lui parle, le jeune homme garder ses yeux dans les miens et je souris, puis je finis par lui rétorquer quelque chose.

Si, tu es bien la première personne qui est là quand je ne vais pas bien, même mes propres collègues, ne voient pas que je ne suis pas bien alors si, je te remercie. Je pense que j'aurais des remords si je joue l'argent que mes parents ont galérés à avoir, je suis quelqu'un de réfléchis, l'argent que j'ai me sers à payer ce que j'ai besoin et aussi l'argent que je gagne en travaillant me sert, je pense que je ne suis pas irresponsable, donc oui, je confirme ce que tu me dis.

Je le sais, je suis sans doute dans le vieux jeu, mais chez moi c'était le plus grand qui aider les plus jeunes et pas l'inverse, cela me faisait bizarre, je ne voulais pas le vexé, je voulais qu'il comprenne que pour moi c'était bizarre.

Ne te vexe pas, mais j'ai pas pour habitude que les plus jeunes aident les plus vieux, enfin chez moi ce n'était pas comme ça qu'on voyait les choses. Mais tu as raison, nous sommes des meilleurs amis et tous les deux c'est normal qu'on s'aide.

Je continue de le regarder, ce que je disais, je le pensais, il faut dire que j'étais quelqu'un qui disait souvent ce qu'ils pensaient, si je n'aimais pas quelqu'un, ce n'est pas moi qui va faire le faux-cul en disant ce que je ne pense pas. Enfin alors que je le regarde, je l'écoute et je souris.

C'était le but de te toucher, je dis ce que je pense tu sais très bien.

Je n'étais pas du genre à me laisser guider par mon père, mais il m'avait fais la promesse de ne jamais passer de l'argent à mon oncle et je respecte sa dernière volonté, mon père m'a toujours dis que l'argent que j'avais, je pouvais en faire ce que je voulais, mais pas dans les poches de mon oncle, alors je le faisais, mon argent allait dans les associations qui en valaient vraiment la peine, j'étais quelqu'un de très humain, enfin alors qu'il dépose sa main sur mon épaule, je tourne la tête vers lui et je lui réponds.

Tu sais, mon oncle n'a peur de rien, il est quelqu'un de fort apprécié dans la police, vu qu'il était au gradé dans la police, alors je ne pense pas qu'ils vont faire quelque chose, mais je sais ce que je peux faire, malheureusement pour mon oncle, l'argent il ne pourra jamais l'avoir, parce qu'à ma mort, dans mon testament j'ai dis qu'il ira à diverse association et aussi aux gens proches de moi qui en auront sans doute besoin. Il me laissera tranquille, on m'a toujours dis d'être plus fort que fort, quand il verra que ses menaces ne fonctionnent pas, il arrêtera et décidera de jouer la carte de la pitié.

Je connaissais très bien mon oncle, il adorait se montré plus fort que tout le monde, mais quand ça ne marchait pas, il jouait la carte de la pitié, sans vraiment prendre le temps de s'excuser, il était comme ça, il ne changera pas. Alors qu'il me parle de l'homme que j'aimais, je souris, il n'avait pas tort, cela était ridicule, il ne savait pas que je l'aimais, il ne savait rien, il était libre de faire ce qu'il voulait.

Qui de nous deux est plus mâture déjà ? Non, je rigole, tu as raison, je dois prendre mon courage à deux mains et lui avouer mes sentiments, lui dire que je l'aime, même si c'est quelque chose qui est assez dur à dire, vu que je ne l'ai pratiquement jamais dis. Tu sais, je ne partirais pas, j'ai des responsabilités et je ne suis pas sur que le proviseur accepterait que je prenne des vacances comme ça. Et pour te répondre, je vis dans ma villa seul pour le moment, donc ne t'inquiète pas, je dois prendre le courage, lui avouer et si ce n'est pas réciproque alors je tournerais la page, enfin du moins, je vais essayé.

Je n'étais pas le genre de mec à se plaindre, il faut dire que je passais mon temps à porter un masque, le masque de la joie, de la bonne humeur, mais c'est sans doute parce que les gens s'en foutent que je sois bien ou non. Enfin alors que je continue de regarder mon meilleur ami, je l'écoute parlé, puis une fois qu'il a terminé, je rétorque.

>>Oh, ça j'en suis sur que tu le ferais, mais je pense que j'ai appris avec le temps d'utiliser mon argent pour la bonne cause, la preuve, j'ai fais construire des appartements, malgré l'avancement des travaux, je dois attendre pour publier dans les journaux que je recherche des locataires. Ah je suis partant, même si je cours de temps en temps, je sais que ça me fera du bien de courir un peu.

J'étais quelqu'un de sportif, je faisais souvent des pompes et des abdominaux, mais je courais que de temps en temps, le fait de courir m'aidera certainement, enfin alors que je souris, je lui dis.

>>Oui, mais cela fait tout mon charme enfin je trouve. Merci de vouloir venir en aide à une personne qui est vieux jeu.

Je disais ça bien-sûr pour le taquiner, je n'étais pas du tout du genre à être comme ça, en fait si, je suis comme ça, j'ai toujours eu dans l'optique d'aider les jeunes et pas que les jeunes m'aide, cela dis, ça arrive et parfois je me dis que ça ne devrait pas être comme ça, c'est moi qui devrait été Maël est pas l'inverse, mais bon. Le fait d'être franc et honnête en vers les gens m'apportent parfois des prises de tête inimaginable, aujourd'hui, je ne voulais plus ça, alors je trouvais les mots et j'avais eu un peu plus de tact. Enfin alors qu'il me propose d'aller chez un éleveur de berger allemand, je souris et je lui dis.

>>Ne t'inquiète pas, mon oncle sait pas où j'habite, il m'appelle souvent sur mon portable et comme je suis rarement chez moi, alors je suis tranquille, nous avons quittés la ville ou nous étions pour vivre ici, donc ne t'inquiète pas et au pire, je sais me défendre tu sais. MAis merci de t'inquiéter pour moi.

Je continue de le regarder dans les yeux, je souris et je passe une main sur son visage et je lui dis.

>>Je te remercie du fond du coeur Maël, mais je te rassure, je vais bien et il ne m'arrivera rien, je t'en fais la promesse. MAël ça me touche que tu veuille être avec moi quand je lui parlerais, mais vaux mieux pas, tu dois être à l'extérieur de tout, je ne veux pas te mêler de ça. Enfin ne le prend pas mal mon cher ami, mais tu m'aide à avoir un mental d'acier et c'est déjà bien. Merci Maël, je te remercierais jamais assez pour tout ce que tu fais pour moi, je sens que je me calme un peu et c'est grâce à toi.